Ma Vision de la République

Pour défendre la liberté d’expression, en ce mercredi 7 janvier 2015, des policiers et des journalistes sont morts sur le sol Français. Assassinés par des islamistes radicaux armés de fusils d’assauts. Les victimes chacune à leur façon défendaient la liberté d’expression. Soit avec le crayon pour les journalistes satiriques de Charlie Hebdo, soit avec leur arme de service pour ceux chargés de leur protection. Rappelons que cette même liberté d’expression est menacée par l’union européenne qui projette avec l’organisation de coopération islamique (regroupant 57 pays musulmans) de criminaliser le blasphème et donc de limiter la liberté d’expression par le processus Istanbul. L’union Européenne et l’OCI donnerait donc ici raison aux assassins des 12 victimes. « Parler de liberté n’a de sens qu’à condition que ce soit la liberté de dire aux gens ce qu’ils n’ont pas envie d’entendre » Georges Orwell. Cette expression prend ici tout son sens. Les journalistes de Charlie Hebdo l’avaient bien compris et ils appliquaient à la lettre ce que nous disait Voltaire : «  Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites mais je me battrai pour que vous ayez le droit de le dire. » Ici, également les policiers décédés ont défendu cette expression et cette liberté de parole au prix de leur vie.

Ahmed Merabet, le policier abattu d’une lâchement sur le trottoir, lui-même de confession musulmane, pouvait ne pas être d’accord avec les caricatures de Mahomet et pourtant il avait fait le choix de défendre la liberté d’expression en s’élevant contre les assassins de ces journalistes. Assassins qui rappelons-le étaient armés de fusil d’assaut, tandis que ces hommes des forces de l’ordre n’avaient eu que leur arme de service. Récemment, une note de service demandait aux policiers d’économiser leurs munitions par soucis d’économie budgétaire. Nos Dirigeants politiques au lieu de mettre les moyens pour assurer la sécurité de nos concitoyens, ont en effet privilégiés de faire des économies sur la vie des Hommes et Femmes sensés accomplir cette mission.  

Si ces terroristes étaient tombés sur des gendarmes, ils auraient sûrement eu encore plus de chance de les abattre. Car pour de sombres raisons pécuniaires, là encore le ministère de l’intérieur n’a jamais voulu garnir complétement les chargeurs de cartouches. Face à un malfaiteur armé, sous un tir nourri, à quoi cela sert-il de remplacer un chargeur à moitié plein par un chargeur au deux tiers vide ? Que ce soit pour un Sig Sauer ou un pistolet mitrailleur d’ailleurs.

Ce sont donc nos politiques et leur mollesse face à ce fléau de l’extrémisme religieux et du communautarisme qui sont responsables de cet attentat. Oh certes, ils se pavanent devant les médias en le condamnant. Mais il ne suffit pas de le condamner et de faire de l’esbroufe. Il faut agir et donner les moyens de le faire aux forces de l’ordre par une politique ferme. Oh bien sûr vous me direz que le gouvernement a élevé au plus haut rang le plan Vigipirate. Savez-vous ce qu’est le plan Vigipirate ? C’est mettre du personnel des forces de l’ordre devant des lieux précis et leur demander de surveiller une éventuelle menace. Et le fait d’élever ce plan au niveau écarlate ou attentat consiste juste à mettre plus de gens pour surveiller, rien de plus.

Face à ce constat de leur incompétence, les politiciens essaient de s’approprier le côté émotion en demandant aux Français d’être unis dans une marche républicaine en omettant délibérément d’y inviter les français qui ont pour idéal le patriotisme et la nation. Ces mêmes Français qui ont votés pour 24 eurodéputés et à qui l’UMP na pas hésitait de solliciter les voix au second tour des présidentielles de 2012 après les avoir insulté de « Cons » au premier tour. Ces mêmes Français qui appartiennent à un parti républicain comme les autres partis, car si cela n’avait pas été le cas, il ne pourrait pas présenter de candidats aux diverses élections.

Bref, encore une fois l’UMPS sont complices dans le but de diviser les Français.

Comme ils l’ont toujours été. Il suffit de voir le site de l’Elysée sur Internet pour y voir les différences de traitement, ne serait-ce que pour les cultes religieux. On y souhaite un bon ramadan aux musulmans et on oublie de souhaiter un bon Noël aux Chrétiens. Cette hypocrisie constante favorisant le racisme et le communautarisme pour des raisons électoraliste à trouver son dénouement le 7 janvier 2015 avec le massacre de journalistes et de policiers. Deux symboles de notre république sont touchés : notre liberté d’expression et notre sécurité.  Déclaration Universelle des droits de l’homme :

Article 2 : Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.

Article 3 : Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.

Nos politiques ne nous assurent plus la sureté, ne nous assure plus la liberté d’expression, ne nous assure plus la liberté d’opinion politique. Ayons le courage de dire STOP, Votons pour la sécurité et la liberté pour l’avenir de nos enfants. Votons pour le Front National !

Cela fait un petit moment que je ne me suis pas manifesté sur mon blog. Et pourtant de nombreux événements ont eu lieux au cours de ces quelques mois.  Je n'entrerai pas dans le détail. Et en énumérerai seulement quelques un.

En juillet dernier j'ai démissionné du FN Somme. La façon de traiter les gens par la hiérarchie ne me convenait pas. On s'accorde a dire d'une personne qu'elle fait du bon boulot et néanmoins on la rétrograde ou on fait en sorte qu'elle se décourage et qu'elle céde sa place. Autant dire que c'est prendre des gens pour des cons. On a traiter certaines personnes comme des vauriens. Ces gens en apprenant qu'on me rétrogradé se sont collégialement senti baffoués et ont démissionnés pour me soutenir. J'ai donc démissionné a mon tour. Et le comble c'est qu'en réponse a ma démission on me demande de rester mais a un poste encore moins élévé que celui ou on m'a rétrogradé. secrétaire departementale adjointe - a responsable de circonscription d'ou j'ai demissionné on me propose de rester mais en tant que responsable de circonscription adjointe.... Je vais bien finir par être adhérente et pourquoi pas militante a ce rythme. DOnc le foutage de gueule a cessé j'ai demissionné de ce parti.

Ensuite, mon fils a fait ses débuts en centre aéré pendant un mois et demi. Tout le long du mois de juillet il s'est éclaté au centre aéré d'Arvillers ou la structure géré par famille rurale avait une ambiance bon enfant et conviviale qui lui a énormément plus. Seulement en aout ma mère a du l'inscrire au centre aéré de péronne à la Chapelette et mon premier contact à été des plus désagréable. Quand on arrive à l'entrée du centre il y a un totem ou il est écrit POLITESSE. Quelle n'a pas été mon désagrément quand j'ai, à peine sortie de la voiture, entendu des ados parler a des jeunes filles avec des termes du genre "espèce de pétasse'  et de voir les moniteurs à aucun moment ne les reprendre sur leur langage alors que des plus jeunes se trouvaient à coté. Le lendemain mon fils m'a d'ailleurs raconté une mésaventure qui lui été arrivé ou là encore des jeunes l'avaient insulté devant la monitrice qui était resté les bras croisés sans rien dire. A mon époque, si un adulte avait seulement entendu un gros mot on en aurait pris pour nos oreilles pendant un moment.

Si ma mère à du prendre mon fils en aôut il y avait une raison à cela. En effet, j'ai du réaliser un pet scan afin de déterminer si j'avais un cancer ou pas. Résultat j'en ai deux. Mais pas de panique je me soigne et vu mon moral je devrai y arrivé. La maladie m'a permis de rencontrer des gens géniaux et plein de courage. De plus, c'est quand on est malade que l'on voit nos vrais amis s'inquieté. Ainsi les anciens de la légion m'appelent régulièrement a tour de role pour s'enquérir de l'avancer de guérison. Mon Jf et également le premier a s'en inquieté chaque semaine. Et plus récemment, un personnage "truculent" comme l'a qualifié la presse, Jacques Dutrieux ,qui est de ces hommes sans ambages, francs et directs, mais avec un coeur gros comme une maison pour les gens qu'ils apprécient, est venu s'ajouter à la liste de mes amis. J'espère que cette amitié sera perenne car il merite vraiment d'être connu. Un peu comme Pascal Tabary qui lui a été hospitalisé et qui est devenu en moins de deux ans comme un frangin a qui je confie tout. Merci à ces amis d'être là quand ça va pas et même quand ça va.

Je finirai en saluant aussi mon petit frère Thierry et sa petite famille qu'il m'a été donné de revoir au bout de deux ans. Putain que c'est long. Lui et sa femme ont des enfants magnifiques et j'espère que tout ira bien pour eux. "Je t'embrasse Fréro"

Voila donc pour les dernières news.

Déclaration universelle des droits de l'homme : 

« Article 11. Toute personne accusée d'un acte délictueux est présumée innocente jusqu'à ce que sa culpabilité ait été légalement établie au cours d'un procès public où toutes les garanties nécessaires à sa défense lui auront été assurées.
Nul ne sera condamné pour des actions ou omissions qui, au moment où elles ont été commises, ne constituaient pas un acte délictueux d'après le droit national ou international. De même, il ne sera infligé aucune peine plus forte que celle qui était applicable au moment où l'acte délictueux a été commis. »

Aujourd'hui, j'aimerai parler d'une décision de justice qui me laisse perplexe. Aujourd'hui, la justice à décider de remettre en liberté sous controle judiciaire Willy Bardon auteur présumé de l'enlèvement, de la séquestration, du viol en réunion et du meurtre d'Elodie Kulik.

Cette libération me laisse perplexe pour plusieurs raisons. 

Dans un premier temps, je me met à la place du père de la victime. Monsieur Bardon est le seul mis en examen vivant qui doit détenir la vérité sur ce qui est arrivé à la victime. Ce dernier à d'ailleurs laisser entendre que la voix sur les enregistrements sonores pourrait être la sienne, avant de se rétracter. Des témoignages de ses proches ont également étaient dans ce sens. Donc cette remise en liberté doît surement être dure à entendre.

Ensuite, plaçons nous du côté de monsieur Bardon. Toujours mis en examen, il a fait  mois en détention juste sur le simple fait qu'on aurait reconnu sa voix, on n'a trouvé aucun ADN, il avait comme fréquentation un des coupables du crimes aujourd'hui décédé et le fait qu'il aurait lui même laissait entendre que la voix sur l'enregistrement pourrait être la sienne. Tout cela l'a placait au rang de suspect. 15 mois en détention basés sur des suppositions. D'où de nombreuses demandes de remises en liberté qui aujourd'hui aboutissent par sa libération. 

Notre justice dans son code pénal dit :« In dubio pro reo » si un doute subsiste quant à la culpabilité du prévenu ou de l'accusé, ce doute doit lui profiter "au bénéfice du doute".

Ici c'est le cas, on a des doutes, pas assez d'élèments pour accuser l'homme. Aura-t-on des certitudes un jour ? Monsieur Bardon va être en liberté sous contrôle judiciaire. Si il est coupable, on remet un meurtrier, un monstre dans la nature. Si il est innocent il aura fait 15 mois de prison sur de simples allégations ce qui pour ceux qui vivent la détention dans ce cas là est tout autant monstrueux. 

Le doute doit bénéficier à l'accusé, mais pour la famille de la victime ce doute les meurtris. Bien entendu, la famille veut que le coupable soit condamné et biensûr pour elle aucun innocent ne doit purger de la détention pour un crime qu'il n'aurait pas commis. 

POur l'accusé si il est coupable il tentera le tout pour le tout pour ne pas être condamner, si il est innocent il fera la même chose mais partagé entre plusieurs sentiments. Celui d'injustice puisqu'il est incarcéré pour des faits qu'il n'aurait pas commis et placé au même rang que ceux qui sont placés en détention et coupables. Celui de compassion face à la douleur de la famille de la victime qui l'accuse malgré son innocence. Celui de colère de ne pas arriver à faire entendre son innocence. etc...

Souvenez vous de Patrick Dills, une erreur judiciaire hors norme. Il avait avoué aussi par peur le meurtre de deux enfants, sous la pression, il a vécu la détention (viol, etc..) . Souvenez vous d'Outreaux, 15 prévenus accusés de viols et de pédophilie qui étaient tous innocents et cela sur de simples allégations. 

On est innocent jusqu'à la preuve du contraire et pourtant les médias les avaient livrés en pâture à l'opinion publique. Dans l'article que je viens de lire, le Courrier Picard prends des gants dans les formules qu'il emploie. Mais en octobre dernier, je me souviens qu'il ne l'était pas autant.

Prenons garde à ne pas hâter notre jugement. Aussi pour moi, même si cela peu choquer, je me réserverai en attendant que la preuve nous soit apportée que Monsieur Bardon soit le coupable des faits qui lui sont reprochés. J'ai pu constater, en ayant suivi le procès en assises d'une connaissance que le Monstre que la presse avait décrite, était loin de l'être. La presse porte des jugements sur des faits au lieu de rapporter simplement les faits. Et selon son ressenti, le journaliste exprimera son opinion et là, disparait bien souvent l'objectivité. 

Aussi, moi qui ne supporte plus la presse à sens unique. Je mettrai des réserves sur la culpabilité de cet homme. 

N'oublions pas que persécuteur et persécuté sont identiques. L'un s'abuse en ne croyant pas avoir sa part de souffranceet l'autre s'abuse en ne croyant pas participer à la culpabilité. La culpabilité n'est après tout qu'un sentiment de compassion à l'égard de la détresse et du malheur que l'on à causés. 

Hier, j'ai discuté avec un parfait inconnu au sujet de la politique et du Front National. Cet homme était anti Front allant jusqu'à dire que si le Front National passait, c'était la fin du monde etc. il disait que le Front accablait les jeunes des cités "sales et crasseux". Ces mots m'ont quelques peu choqués et je lui ai rappelé qu'à mon avis dans les cités les jeunes qu'il traitait de "sales et crasseux" pour moi,  étaient en rupture d'éducation par leurs parents. Soit par manque de moyens, soit par manque d'intégration et /ou d'éducation de ces derniers et que cette intégration défaillante on l'a devait aux gouvernements successifs de ces 30 dernières années et à leur politique du logement.

En effet, si on met des gens déracinés de leur pays dans un HLM et qu'on leur dit de s'intégrer aux us et coutumes du pays d'accueil encore faudrait il qu'on leur donne l'occasion de pouvoir les connaître et de côtoyer des gens issus du cru à même de les initier. Hors là, si on reprends des villes comme Marseille, Paris, etc. pendant 30 ans on a accueilli des gens, on les a parqué dans des HLM et on leur a dit intégrez vous. Leur plus proche voisin étant africain ou asiatique etc. ils se sont regroupés dans des communautés qui les comprenaient et ils se sont intégrés à leur façon. Seulement ces gens courageux ont eu des enfants qui eux été bien français, mais que la population dites "française de souche" (je n'aime guerre ces termes qui ne veulent rien dire) rejetait. Car ces nouveaux français ne parlaient pas ou mal la langue de Molière et avaient des us et coutumes différentes des autres etc..

Doit-on leur en vouloir d'être en rupture avec notre société ? Je ne pense pas. Ici ils sont français et rejetés parce que différents et dans le pays d'origine de leur parents ils sont français et donc étrangers. Et ça, c'est la France et sa politique pendant 30 ans qui l'a créé. Heureusement, me direz vous tous ces jeunes ne vont pas trainer les rues et être "sales et crasseux" et ils vont s'en sortir. Souvent au prix d'immenses efforts d'intégration. mais les autres en rupture de tout, eux, bien souvent finiront derrière les barreaux d'une prison. Je me demande toutefois si la détention est le lieu le plus approprié a rééduquer un jeune ? Je ne pense pas. Il faudrait pour cela faire du cas par cas et vu le manque de personnel dans l'administration pénitentiaire c'est déjà formidable si certains d'entre eux arrivent à ne pas retourner en taule une fois sortis.

Mais me direz vous, en détention il n'y a pas que des immigrés ou des enfants d'immigrés. C'est vrai, il y a aussi les autres. Et bien souvent ces autres sont aussi en rupture d'éducation ou n'en ont simplement jamais eu de vrai. Sans éducation solide les jeunes ne peuvent pas s'intégrer à la société. L'éducation de base : lire, écrire, parler et tout aussi importante que l'éducation donnée dans le cadre familial. Personnellement, j'admire mes parents qui ont su en tant que simple ouvriers avec leur certificat d'étude me donner une bonne éducation. j'en serai pas là s'ils n'avaient pas donner autant d'eux pour me structurer. Mais combien de parents sont démissionnaires face aux difficultés qu'ils rencontrent avec leur enfant. Combien de fois les gendarmes et les policiers ont entendus cette phrase :" gardez le, j'en peux plus, il ne fait que des conneries !"

Je pourrai vous parler d'un cas que je connais bien. Il est français et pour ne pas stigmatiser il est blanc. Je le connais depuis très longtemps pour avoir été à l'école avec lui. Il a eu une enfance difficile ou les coups paternels pleuvaient et ou l'alcool était présent et l'éducation quasi inexistante. En grandissant, il a reproduit la violence qu'il a reçu. Soit parce qu'il voulait  se faire remarquer par son père qui le traitait de "batard" et ainsi prendre des coups que le paternel destinait au reste de la fratrie ou à la mère (dans un souci de protection) ; soit parce qu'il avait besoin d'extérioriser la haine qu'il éprouvait contre ce dernier et tout ce qu'il avait supporté comme humiliation ou sévices en la retournant sur le père, ou en se battant avec d'autres.

Cette éducation défaillante pourtant aura quelques éclaircie. Un grand-père sapeur pompier et une grand-mère aimante qui essaieront de le valoriser et de le tirer vers le haut. D'où un engagement chez les paras et un sentiment de fierté d'avoir réussi au moins cela. Sentir que des gens qu'on aime et qui nous aime sont fiers de nous est important surtout quand on est jeune.

Puis reviendra, le quotidien après le service militaire. Recommencer à défendre la fratrie et la mère contre le père. Boire plus que de raison pour oublier les échecs endurés dans sa vie ou simplement boire parce qu'on a toujours été dans un entourage alcoolisé. Faire des conneries, sous l'emprise de l'alcool et se dire que cela est normal car personne, auparavant, n'a eu le courage de dire "STOP, C'est pas bien !"

Comment ces simples mots auraient-ils pu être prononcés quand on rencontre la première fois le père qui se vante d'avoir tabasser un gars dans une soirée et d'en être fier. Et ce, dès la première rencontre. Cet adolescent de 15 ans, après 25 ans est aujourd'hui en détention pour avoir tué un homme dans une bagarre sous l'emprise de l'alcool.

Vous me direz : au moins en détention, il va apprendre ce qui est bien et mal. Détrompez vous. Pendant trois ans avant son procès, sa famille venait au parloir et n'avait que le discours suivant :" c'est bien, tu l'as tué j'aurai fait pareil". Heureusement toutes les familles ne sont pas ainsi.

Vous me direz : il y a les surveillants et le personnel pénitentiaire pour lui expliquer. Certes, mais que penser d'un surveillant si pendant des années ceux qui sont sensé vous dire ce qui est bien et qui sont de votre famille vous font entendre que vous avez raison. Surtout si en plus vous voyez des surveillants faire du trafic de shit sous vos yeux. Leur feriez vous confiance ? Alors imaginez, celui qui est privé de liberté et à qui on demande de rentrer dans le droit chemin et d'être réglo mais a qui on montre que même les gens devant montrer l'exemple ne le sont pas. Que ces mêmes exemples vont jusqu'à vous lui interdire d'agir correctement en suivant le règlement et favoriser les autres qui trafiquent. Comment dire à cet homme que la violence ne sert a rien, qu'il y a des lois et des règles à respecter et c'est cela qui nous différencie des animaux.

Avec le temps on y arrive. En ayant le bon discours. En lui démontrant certaines choses, en lui demandant de se mettre à la place du père de la victime, en faisant appel à son bon sens, à ce qu'aurait dit son grand-père qui incarnait la seule personne qui l'avait aimé et dont il était fier. En lui faisant découvrir, l'univers carcéral sous un autre angle : celui des surveillants. En lui expliquant qu'il n'y a pas que des pourris parmi eux. Mais des gars qui font leur boulot et qui ont des familles. Il suffisait juste de lui montrer ce qu'il savait déjà au fond de lui. Qu'il n'était pas une bête mais un être humain. A partir de là, il a pu avancer dans sa tête mais aussi avec les autres (codétenus et surveillants). La transformation de cet homme a été spectaculaire aussi bien pour lui-même car il sait aujourd'hui qu'il peut réussir sa vie même en détention. Mais aussi pour les gens qui le soutenaient et qui l'on vu enfin rompre avec ses démons (alcool, famille etc.) Parmi ces gens, il y a certains surveillants qui avaient su déceler le côté "Brave Gars" de ce détenu et qui le lui ont dit. Ce qui aura d'ailleurs pour effet de le toucher profondément. Lui, que tout le monde considéré comme un bon à rien, enfin se sentait quelqu'un juste en entendant ces deux mots prononcés par des gens incarnant le bien. Il y a aussi les psychologues qui l'on vu changer et être moins impulsif et agressif. La visiteuse de prison qui aura su l'écouter et le conseiller et tout cela sans porter un jugement sur l'homme, juste en lui accordant son soutien dans les moments difficiles.

Quelle fierté de se dire que de cet homme dont l'éducation était plus que défaillante, on a réussit à le sortir de la plus grande des prison (celle à l'intérieur de lui). L'image qu'il avait de lui, l'image que les autres lui renvoyaient, l'image qui avait été forgée par ses parents. Aujourd'hui, cette réussite on la ressent. Elle est palpable. Et c'est une réussite collégiale de tous ces gens qui œuvrent pour réinsérer les détenus, jeunes ou moins jeunes. Surveillants, éducateurs, psychologues, SPIP, visiteurs de prisons etc. qui apportent un complément a la rééducation des parents sur leur enfants, bien souvent perçus par les dits parents comme ceux faisant obstacles à la liberté du détenu qu'ils viennent voir. Pour moi, je les remercie du travail qu'ils fournissent car si certains détenus sortent un jour en ayant évolués comme le cas que je vous ai présenté c'est en grande partie grâce à eux. 

revenons ensemble sur les actualités du mois de juillet.

Ce mois de juillet à commencé par un fait divers tragique, le déraillement du train à bretigny sur orge le 12 juillet. J'étais sur la route vers Cannes quand j'ai entendu cette terrible nouvelle. Mais vous n'imaginez pas mon écoeurement quand j'ai appris par la suite que des voyous de cités étaient venus dépouiller des victimes et caillasser les secours et les forces de l'ordre. Notre Pays est il donc tombé si bas pour que des gens en viennent à piller des morts et des victimes au lieu de leur porter secours? Quelle éducation, ces voyous ont ils pu recevoir pour n'accorder que si peut de valeur à la vie humaine ? Quelle éthique ont les journalistes et les hommes politiques aujourd'hui pour nié cette réalité au dépit des survivants et des familles de victimes ? Seul le Point à réellement relaté l'information. Il a fallu que les syndicats de police s'insurgent sur le fait qu'on mentait à la population sur ce que eux avaient vu pour que Valls admettent une partie des faits. "Actions de jeunes désoeuvrés" !!!!

Récemment les évenements de Trappes n'étaient guerre mieux. Le gouvernement ne maîtrise plus la sécurité des français, cela est un constat que tout a chacun peut aujourd'hui vérifier. Je ne me suis jamais soustrait a un contrôle de police ou de gendarmerie. Il est normal d'ailleurs pour moi de pouvoir justifier de mon identité quand on me le demande. Cela fait partie intégrante de mes devoirs de citoyenne d'obtempérer à une demande de contrôle afin de facilité le travail des policiers ou des gendarmes. Quand moi, je demande à une personne de justifier de son identité pour obtenir un acte de naissance, on ne m'a jamais caillassée ni insulté. Tout le monde se plie a cette règle et ne bronche mot. Alors qu'un membre des forces de l'ordre, le demande pour effectuer son travail et se fasse agressé par un hurluberlu qui refuse de se plier aux lois de la république, je ne trouve pas cela normal. Mais apparement le ministère de la justice et le ministre de l'interieur ne le concoivent pas de la même manière. L'agresseur a à peine fait quelques heures de garde a vue et à été relaché en vue de comparaitre plus tard. A côté de cela des manifestants pacifistes de la manif pour tous qui ont déroulés une banderole sur le toit du siège du PS se sont vus être mis en garde à vue 48h et placés sous controle judiciaire pour aboutir a des amendes allant jusqu'a 900euros pour la plus forte lors de leur jugement. On place sous controle judiciaire des dérouleurs de banderole et on relache des agresseurs de flic sans les contrôler ceux là !!!!

Et que dire des 200 personnes qui ont été aperçu dans les émeutiers ? On en voit 200 et on en attrape que 4 ? la police était plus efficace avec les 19 pacifistes de solférino. Mais cela me rappelle les 300 jeunes de cités venus fêter la saint sylvestre à Nogent en début d'année et qui avaient tout saccagé. la police les avait gentiment remis dans le rer pour les renvoyer dans leur foyer. rer qu'ils ont saccagés au passage sans qu'il n'y ai d'interpellations et une facture de plus pour les contribuables français. Qui va encore payer les dégats de Trappes. Les habitants dans un premier temps, mais les contribuables Français par la suite, car Trappes est une ville à qui l'Etat viendra apporter des aides financières pour réparer...Et les aides financières c'est Nous !!!

Face à l'Angélisme de la Gauche, le peuple Français voit sa sécurité disparaitre comme Peau de chagrin. 

Un exemple des plus flagrant encore, L'Etat n'assure plus non plus la sécurité de nos militaires et de leur famille. A brive la gaillarde des affrontements entre militaire et des jeunes de cités ont éclatés récemment mais cette information est bien dissimulée par les médias trop afférés à diffuser le deraillement du train en espagne.

À l'origine de ces affrontements, l'intrusion de jeunes dans une résidence privée de Brive-la-Gaillarde. Un résidant, militaire de carrière, les avait sommés de partir. La situation a alors dégénéré.

Aujourd’hui, j’aimerai faire un point sur les médias qui nous entourent.

Tout à chacun peut constater la redondance des informations qui sont véhiculées par la presse écrite, audiovisuelle ou radiophonique. Bien souvent, je m’interroge sur le fait qu’il ne doit rien se passer en France de vraiment important, pour que ces médias s’empressent de relater les mêmes faits, avec le même discours et surtout sans y apporter ne fusse qu’un avis différent de l’opinion médiatique national collectif.  Non, pour avoir un avis différent de celui National il faut se rendre à l’étranger, sur les chaines Russes ou Anglaises où autres qui se chargent de vraiment dépeindre le climat français tel qu’il existe réellement.

A l’échelon local, j’ai pu constater que nos journalistes de presse écrite faisaient la même chose que leurs confrères sur le territoire Français. Est-ce leur formation qui veut cela ? Leur manque d’objectivité ? Leur manque d’esprit d’investigation ? Pourtant il existe de très bons journalistes. John Paul Lepers par exemple en est un excellent. Traiter un sujet en donnant la parole à tous. De ceux qui sont pour, à ceux qui sont contre, sans prendre partie relève d’un certain professionnalisme que peu de journalistes que j’ai pu cotoyer ou lire ont. cet esprit d’honnêteté intellectuelle est très peu représenté. Dans chaque article que l’on peut lire bien souvent le journaliste y va de sa tournure de phrase qui laisse transparaître son propre avis, instrumentalisant ainsi l’opinion du lecteur. Reprenons par exemple un article de presse paru dans le courrier Picard de ce week-end.

Si nous décortiquons cet article, on peut voir que le journaliste avance des informations qu’il a glâner par téléphone. D’ailleurs, il me l’a écrit en message sur facebook je vous donnerai la copie de la conversation ci-après. Il nous dit également que l’information sur la constitution d’une liste FN à Ham est un secret bien gardé. Mais avance des supputations qu’elle aurait du mal à se faire. Sa source : des gens qui ne sont au courant de rien.

Pour sur si je dis a mon poisson rouge « marche » il aura du mal a bouger, mais trouvez lui un bocal d’eau il saura nager.

Donc, m’adresser à des gens au courant de rien ne veut pas dire que rien ne se fait. Mais ce brave Journaliste lui en conclu qu’elle à du mal à se faire. Ca en est presque risible.

Bon décortiquons, ensuite cet échange avec cette soit disant personne qui a Marc Bonef dans son collimateur. J’ai voulu savoir exactement ce qu’elle avait dit à ce brave journaliste. Je l’ai donc contacté. Et il est clair que les deux versions selon laquelle elle lui aurait dit avoir contacté le FN est plus que du délire car ce monsieur ment pour protéger ses sources. D’ailleurs, dans la conversation qu’il a eu avec moi, il me dit qu’il aurait eu ces informations par des commerçants de Ham, ensuite que c’est elle qui lui a dit l’avoir fait etc… hors ce monsieur a  omis une chose c’est qu’il m’a dit avoir contacté un membre du bureau amiénois qui voulait garder l’anonymat. Hors cette personne de Ham nous a écrit par mail ses coordonnées. Ce mail a été envoyé à 4 personnes dont quatre du bureau. Le secrétaire départemental et moi-même n’avons pas transmis ces infos à ce journaliste. Reste donc deux personnes en lice pour avoir communiquer avec le journaliste en question. Hors, je sais que le journaliste a le numéro de l’un d’entre eux puisque je les ai mis moi-même en relation il y a quelques mois. Donc la fuite à été localisée.

J’ai donc communiqué la conversation que j’ai eu avec ce journaliste à la personne de Ham. Qui a formellement démenti avoir donné ses informations au journaliste.

Vous comprenez donc maintenant pourquoi je me refuse et me refuserai toujours à faire confiance à des journalistes.

Suffit de voir leur comportement sur facebook hier. Ils disent accepter la critique mais pas la diffamation ou les insultes. Personnellement, je n’ai jamais insulté qui que ce soit et pour les diffamer j’ai les preuves pour avancer ce que je dis. Donc j’ai mis un commentaire disant : vous acceptez la critique depuis quand ? et je me suis vue banni de leur page. Bienvenue en dictature journalistique mes amis lol. 

Malheureusement ce journaliste n’est pas un cas isolé. Bien que je le croyais différent des autres car il a écrit deux articles récemment qui le démarqué des autres. Un autre cas sur le manque d’impartialité des journalistes serait a traité sur mon lieu de travail. Un individu a fait paraitre un article a ses frais dans le journal mettant en cause la municipalité, le Maire a demandé a avoir un démenti, on nous a envoyé une journaliste, elle a pris fait et cause pour l’individu et a fait un article sur le maire assez décevant voir diffamatoire. Il a fallu que le maire menace de poursuites judiciaires le Courrier Picard pour voir un encart de démenti tel qu’il avait demandé au journal. Nous avons donc un vivier de personnes dont la tolérance s’arrête à leur bien pensance. Surtout si vous fumez et que eux ne fument pas, fuyez braves gens… c’est un conseil que je vous donne.

Que dire de ce mois de juin qui se termine. Riche en actualités.

Déjà mon déménagement, en mai dernier la SAIP de Péronne m'avait fait visité un appartement et fait signé un courrier m'engageant à prendre le logement qu'elle me proposé à la chapelette. Confiante sur le fait que le logement m'était accordé puisque chèque de caution versé, lettre d'engagement signée et attestation d'assurance effectuée, j'ai eu la surprise le 12 juin d'étre appelée a 3 semaines de mon déménagement pour m'entendre dire que l'on ne m'octroyé plus le dit logement, me mettant moi et mon fils de 6 ans à la rue puisque mon préavis avec mon autre propriétaire avait été notifié par recommandé. La raison invoquée pour ce revirement de situation , des cas sociaux prioritaires passaient avant moi. Après renseignements, on me dit qu'une fois par mois les bailleurs sociaux a tour de rôle doivent mettre a disposition un logement pour des cas sociaux dit prioritaires (ceux qui ne paient pas leur loyers, ou qu'aucun bailleurs ne veut accueillir suite a des problèmes de voisinage ou de dégradations) la fameuse loi dalo. L'application de cette loi et l'excuse donné m'a toutefois laissé pensive. Comment la SAIP qui refait un logement a neuf, conduite de gaz, revetement mural, carrelage, revetement de sol, salle de bain dans son integralité etc etc... pendant plus de 6 mois, ce qui fait que je n'avais pas de bail puisque l'état des lieux devait se faire fin de travaux, Octroie un logement a des cas sociaux prioritaires qui risquent de dégrader, de ne pas payer de loyer, et surtout sont dans une urgence tel qu'ils ne peuvent attendre la fin des travaux ... d'avis général sur la situtation que ce soit de l'assistante sociale que j'ai vu et qui m'a dit qu'elle ne pouvait rien faire pour moi car je n'étais pas un cas social, en passant par les autres bailleurs public, la SAIP s'offre le droit au passe droit.

Heureusement, j'ai trouvé un autre appartement mais autant dire que toutes les démarches prennent du temps.

Mercredi 19 juin quand a lui a été riche en émotion car j'ai revu une personne que je n'avais pas vu depuis longtemps et qui depuis le mois de mai a repris contact. Je t'embrasse trés fort JF car tu m'apporte beaucoup en ce moment et je suis plus que ravie que tu sois réapparu dans ma vie.

Ensuite, ce samedi 22 juin 2013, j'ai été nommée secrétaire départementale adjointe du Front National dans la Somme. et un nouvel arrivant à la maison est apparu. Garfield qui nous vient de dieppe et a 2 mois et demi fait le bonheur de mon fils.

Bienvenue a toi Garfield.

Samedi dernier mon fils et ses camarades de classe nous ont offert une superbe fête des écoles à l'école Béranger.

Et l'après midi, il a participé au critérium de foot du club d'Estrées-Mons qui fêtait ses 30 ans d'existence.

J'ai pu ainsi, revoir des tas d'amis d'enfance avec ma plus grande joie et savoir ce qu'ils étaient devenus. On a pas changé les amis, le temps nous a séparé ainsi que nos vies respectives mais ce qui compte au fond c'est que nous soyons toujours rester des amis.

J'ai ainsi récemment retrouvé l'un d'eux (jf) et il compte énormément pour moi car je sais que sa vie actuelle est pas toute rose. Je l'embrasse d'ailleurs très fort si il lit ces lignes et je l'adore.

Petite pensée d'ailleurs pour monsieur Christian Picard, ça m'a fait tout drôle de le voir sans sa barbe (je l'ai toujours connu avec), qui s'est vu décerné une médaille par Monsieur le conseiller général demilly pour son action dans l'animation du club de foot.

Oui ce samedi mon fils m'a comblée par ses chants d'école et son football et il m'a rendu trés fière ce jeudi 13 juin 2013 aussi, en obtenant sa ceinture jaune et blanche aprés un passage devant le jury du karaté wado de péronne (1er examen ce n'est pas rien) et en l'obtenant avec félicitations et une mention trés bien en Kata et une mention trés bien en combat.

Je suis très fière de toi mon fils.

Ce dimanche 09/06/2013, J'ai rejoins l'A.A.L.E de l'Oise pour rendre hommage au Lieutenant Colonel Lacombe de la Tour et célébré les 73 ans de la bataille de Noroy. Une magnifique exposition sur la légion étrangère nous a été offerte dans les locaux de la mairie et une célébration au monument aux morts superbe malgré un temps médiocre et froid à pu avoir lieu.

Miniature de la bataille de camerone. Je vous laisse deviner comment ils ont réussi a faire les pavés a l'échelle.

 Des élus ont rendu hommage a ce valeureux légionnaire et le discours du député Maire Olivier Dassault m'a particulièrement touchée. Suite a cela, un pot nous a été offert par la municipalité. Merci donc a Monsieur le Maire et a tous ceux qui l'ont aidé a installer barnum sous la pluie battante etc... le repas qui a suivi en compagnie de la famille du Lieutenant Colonnel Lacombe de la Tour à été trés sympathique et mon voisin de gauche qui m'a tenue compagnie était trés interessant. Sans me douter que celui ci était dejà une personne avec qui j'avais eu l'honneur de discuter via des forums de la légion sous un pseudonyme "Le fenec". La légion est une famille. L'hommage qui a suivi sur les lieux ou est tombé le Lieutenant Colonnel Lacombe de la Tour a clos cette journée et c'est au son du dernier couplet du chant du 1er REC que le fils de ce dernier à laisser transparaitre son émotion.

"Sur sa tombe, une simple croix s'élève,
Sur laquelle ces seuls mots sont inscrits :
Il a servi honnête et fidèle
Au Premier Etranger de Cavalerie"

Aujourd'hui, en rentrant du boulot ce midi, j'ai été surprise de voir sortir de ma cour un gendarme téléphone en main. Après discussion, lui et son collègue sont venus pour s'enquérir de l'état de mon voisin du dessous. Celui ci était ivre (un peu comme d'habitude - il a son anniversaire environ tous les deux mois) et quand ils sont revenus le voir, ils se sont aperçu qu'il avait sur sa table des médicaments et donc ils ont préférés faire appel aux pompiers. Alcool shit et somnifères cela fait rarement bon ménage. Mon voisin n'est heureusement pas violent et donc ils ont pu dialoguer avec lui. Ils ont fait preuve de professionalisme et surtout d'écoute à son égard. On dépeint souvent les gendarmes comme des agents repressifs. C'est aussi une de leur fonction, mais ce sont avant tout des êtres humains qui ont a coeur de mener leur mission et d'aider les gens qui en ont besoin et ce même contre elle-même. J'ai pu déjà voir mon voisin ivre dans la rue. Il ne tenait pas debout. Une autre fois mon ex-mari l'a rattraper de justesse pour ne pas qu'il s'affale au milieu de la route. Vu la circulation cela aurai pu avoir de grosse conséquences pour lui et pour les automobilistes. Nos gendarmes de Péronne sont à l'écoute même des plus désoeuvrés et j'ai pu à nouveau le constater aujourd'hui. Merci à eux pour leur présence sur le terrain quelle que soit la mission qui leur est confiée. 

"Pour la Patrie, l'Honneur et le Droit""